EN VIDÉO] Predator, le robot qui peut démanteler une centrale nucléaire Pour démanteler le réacteur nucléaire A de la centrale de Chooz, dans les Ardennes, des robots, en fait, des EnFrance, 630 000 personnes vivent à moins 10 kilomètres de l'une des 19 centrales. Une équipe de France 3 s'est rendue à Cattenom. C'est ici que se trouve la sixième centrale la plus Unecentrale nucléaire mise en service utilise du combustible nucléaire pour alimenter le réacteur. Lorsqu'ils sont utilisés dans un réacteur, les combustibles utilisés peuvent prendre différentes formes: un métal, un alliage ou un mélange d'oxydes. La plupart des réacteurs nucléaires utilisent un composé composé de dioxyde d Lecturemath devoirs cp ce1 suivi en ligne 03/03/2020 04/14/2020 bofs Maths pour reussir sa partie de peche devoir maison L'enfant dispose d'un clavier avec les alphas Ce livre a été très surpris en raison de sa note rating et a obtenu environ avis des utilisateurs Pour commencer, je recommande une présentation sympa et rapide, accessibles à tous, que l’on peut trouver en souspression (REP) que l’on trouve dans les centrales nucléaires françaises, les réacteurs RBMK présentent une instabilité du cœurdu réacteur, dont le pilotage est moins maîtrisable. Par ailleurs, ces réacteurs ne disposent pas d’une enceinte de protection, enveloppe étanche et résistante de béton qui équipe les centrales Vay Nhanh Fast Money. Deux militants de Greenpeace comparaissent mercredi 17 octobre devant le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse, le premier pour avoir survolé en parapente la centrale nucléaire du Bugey Ain, le second pour s'être présenté à l'accueil de la même centrale. L'action commando s'était déroulée entre les deux tours de la présidentielle, le 2 mai, et a été filmée par un drone télécommandé par des militants. La suite après la publicité Greenpeace survole la centrale nucléaire du Bugey par LeNouvelObservateur Le directeur de la centrale du Bugey, Alain Litaudon, avait estimé ce jour-là que "Greenpeace n'a rien démontré" en termes de failles. "L'interpellation a eu lieu en huit minutes" après la détection, avait-il plaidé, jugeant que l'événement démontrait "très clairement que le dispositif de sécurité est efficace". Alexandre Faro, avocat de Greenpeace qui défendra les deux intrus de la centrale de Bugey, n'est pas de cet avis... Que s’est-il passé précisément à la centrale de Bugey le 2 mai dernier ? - Un parapentiste à moteur, Kai Von Scietentron, 29 ans, un allemand, a survolé le réacteur de la centrale de Bugey pour en montrer la vulnérabilité. Or, il a dû se poser en urgence entre les deux bâtiments réacteurs parce que sa voile s’est pliée. On le voit sur la vidéo. Il est poursuivi pour "survol d’une zone interdite". L’autre prévenu, Jonathan Palais, 33 ans, est poursuivi pour "complicité". Son rôle a été mineur. Il est venu demander des nouvelles du pilote à la guérite d’accueil de la centrale. Mais lors d’une perquisition dans sa voiture, la police a trouvé un GPS qui indiquait le chemin pour venir à la centrale, une carte du secteur…La suite après la publicité Quelle sera votre ligne de défense ? - Je vais faire une défense en droit. L’infraction pénale qui a été retenue, "survol d’une zone interdite", ne tient pas. Les centrales nucléaires ont effectivement été déclarées zones interdites en 2002, à la suite des attentats du 11 septembre 2001. Pour certaines centrales, comme la Hague, l’interdiction est définitive. Mais pour d’autres, dont Bugey, elle était temporaire sans que l’on sache jusqu’à quand elle court. Je vais donc soulever l’illégalité de cet arrêté, qui ne prévoie pas de terme à l’interdiction "temporaire". C’est le même type de défense que vous aviez développé pour les autres militants de Greenpeace, qui s’étaient introduits dans les centrales de Nogent et Cruas en décembre 2011… - Ce sont les mêmes problématiques. En l’occurrence, Nogent et Cruas était officiellement protégées comme des sites militaires des pancartes indiquent tout autour qu’il s’agit de sites militaires et qu’y pénétrer entraîne une peine de 6 mois de prison. Or primo, elles n’ont pas de lien explicite avec des activités militaires. Et secondo, les militants qui s’y sont introduits ont été accusés de "violation de domicile". Sur les centrales nucléaires, les notions juridiques ne sont pas clairement établies. Or le droit pénal n’a pas le droit d’être suite après la publicité Les prévenus considèrent-ils avoir réussi leur mission ? - Oui bien sûr ! Ils ont encore une fois mis à mal la communication d’EDF. L'entreprise a qu’elle avait bien repéré qu’il s’agissait d’un parapente Greenprace, raison pour laquelle elle n’a pas déclenché le plan hors-sec. Or quelques jours plus tard, un autre parapente a survolé par erreur une autre centrale, Saint-Alban, au sud de Lyon, et EDF a fait envoyer un Mirage 2000… Tout ceci montre qu’il n'y a pas de réponse adaptée. EDF ferait mieux d’admettre la vulnérabilité des centrales ! Que risquent les deux prévenus de Bugey ? - Un an de prison et euros d’amende. Autrement dit, on risque plus en survolant une centrale qu’en pénétrant par voie terrestre, où l’on risque 6 mois de prison !La suite après la publicité Où en sont les militants qui s’étaient introduits dans les centrales de Nogent et Cruas ? Pour ceux qui se sont introduits à Nogent, le tribunal de Troyes s’est dit incompétent. La Cour d’appel de Reims les a reconnus coupables et les a condamné à 6 mois de prison. Nous nous sommes pourvus en cassation pour que la Cour annule ce jugement. On ne peut avoir une interprétation extensive du droit pénal. Quant à ceux qui sont entrés dans la centrale de Cruas, ils ont été relaxés par le tribunal de Privas, et renvoyés devant la Cour d’appel de Nîmes, qui a mis l’affaire en délibéré jusqu’au 23 novembre. Propos recueillis par Morgane Bertrand le 17 octobre 2012 - Le Nouvel Observateur Les applications du moteur Stirling peuvent être divisées en trois catégories principales entraînement mécaniquechauffage et refroidissementSystèmes de génération électriqueUn moteur Stirling est un moteur thermique qui fonctionne par compression et détente cycliques d'air ou d'un autre gaz, le fluide de travail. Au cours du cycle de Stirling, il y a une conversion nette de la chaleur en travail mécanique. Le moteur thermique à cycle de Stirling fonctionnera également en sens inverse, en utilisant un apport d'énergie mécanique pour entraîner le transfert de chaleur dans le sens inverse c'est-à-dire une pompe à chaleur ou un réfrigérateur.Production d'électricité à l'aide d'un moteur StirlingÉnergie nucléaireIl existe un potentiel pour les moteurs Stirling à propulsion nucléaire dans les centrales électriques. Le remplacement des turbines à vapeur des centrales nucléaires par des moteurs Stirling pourrait simplifier la centrale, produire un rendement plus élevé et réduire les sous-produits conceptions de réacteurs surgénérateurs utilisent du sodium liquide comme caloporteur. Si la chaleur doit être utilisée dans une centrale à vapeur, un échangeur de chaleur eau/sodium est nécessaire, ce qui est préoccupant car le sodium réagit violemment avec l'eau. Un moteur Stirling élimine le besoin d'eau à n'importe quelle partie du cycle. Cela présenterait des avantages pour les installations nucléaires dans les régions solaireLe moteur Stirling se trouve au centre d'un miroir parabolique, un moteur Stirling peut convertir l'énergie solaire en électricité avec une meilleure efficacité que les cellules photovoltaïques non concentrées, et comparable au photovoltaïque et électricité combinéesDans un système de production combinée de chaleur et d'électricité CHP, l'énergie mécanique ou électrique est générée de manière normale, cependant, la chaleur résiduelle émise par le moteur est utilisée pour fournir une application de chauffage secondaire. Cela peut être pratiquement tout ce qui utilise de la chaleur à basse température. Il s'agit souvent d'une utilisation d'énergie préexistante, comme le chauffage de locaux commerciaux, le chauffage d'eau résidentiel ou un procédé centrales thermiques du réseau électrique utilisent du combustible pour produire de l'électricité. Cependant, il existe de grandes quantités de chaleur résiduelle qui ne sont souvent pas utilisées. Dans d'autres situations, un carburant de haute qualité est brûlé à haute température pour une application à basse température. Selon la deuxième loi de la thermodynamique, un moteur thermique peut générer de l'énergie à partir de cette différence de un système CHP, la chaleur primaire à haute température pénètre dans le réchauffeur du moteur Stirling, puis une partie de l'énergie est convertie en énergie mécanique dans le moteur et le reste va au refroidisseur, où il sort à basse température. La chaleur "perdue" provient en fait du refroidisseur principal du moteur, et peut-être d'autres sources comme l'échappement du brûleur, s'il y en a produite par le moteur peut être utilisée pour faire fonctionner un processus industriel ou agricole, qui à son tour génère des déchets de biomasse qui peuvent être utilisés comme carburant gratuit pour le moteur, réduisant ainsi les coûts d'élimination des déchets. Le processus global peut être efficace et Stirling pour la sortie mécanique et la propulsionNous analysons différents cas dans lesquels le moteur Stirling est utilisé pour obtenir un travail mécanique moteurs automobilesOn prétend souvent que le moteur Stirling a un rapport puissance / poids trop faible, un coût trop élevé et un temps de démarrage trop long pour les applications automobiles. Ils ont également des échangeurs de chaleur complexes et coûteux. Un refroidisseur Stirling doit rejeter deux fois plus de chaleur qu'un radiateur de moteur Otto ou de moteur de chauffage doit être en acier inoxydable, en alliage exotique ou en céramique pour résister aux températures de chauffage élevées nécessaires à une densité de puissance élevée et pour contenir du gaz hydrogène souvent utilisé dans les voitures Stirling afin de maximiser la puissance. Les principales difficultés liées à l'utilisation du moteur Stirling dans une application automobile sont le temps de démarrage, la réponse de l'accélérateur, le temps d'arrêt et le poids, qui n'ont pas tous des solutions toutes d'avionLes moteurs Stirling peuvent être théoriquement prometteurs en tant que moteurs d'avion, si une densité de puissance élevée et un faible coût peuvent être atteints. Ils sont plus silencieux, moins polluants, gagnent en efficacité avec l'altitude grâce à des températures ambiantes plus basses, sont plus fiables grâce au nombre réduit de pièces et à l'absence de système d'allumage, produisent beaucoup moins de vibrations les cellules peuvent durer plus longtemps et utilisent des carburants plus sûrs et moins le moteur Stirling a souvent une faible densité de puissance par rapport au moteur Otto et à la turbine à gaz à cycle Brayton couramment utilisés. Ce problème a été une pomme de discorde dans les automobiles, et cette caractéristique de performance est encore plus critique dans les moteurs d' électriquesLes moteurs Stirling dans le cadre d'un système d'entraînement électrique hybride peuvent éviter les défis de conception ou les inconvénients d'une voiture Stirling non novembre 2007, le projet Precer en Suède a annoncé un prototype de voiture hybride utilisant un biocarburant solide et un moteur marinsLe moteur Stirling peut convenir aux systèmes d'alimentation immergés où des travaux électriques ou mécaniques sont nécessaires à un niveau intermittent ou continu. General Motors a effectué une quantité considérable de travaux sur les moteurs à cycle de Stirling avancés qui incluent le stockage thermique pour les applications sous-marines. United Stirling, à Malmö, en Suède, développe un moteur expérimental à quatre cylindres qui utilise du peroxyde d'hydrogène comme oxydant dans les systèmes de ravitaillement de pompeLes moteurs Stirling peuvent entraîner des pompes pour déplacer des fluides tels que l'eau, l'air et les gaz. Par exemple, la puissance de sortie ST-5 de Stirling Technology Inc. de 5 chevaux 3,7 kW qui peut faire fonctionner un générateur de 3 kW ou une pompe à eau du moteur Stirling pour le chauffage et le refroidissementS'il est alimenté en énergie mécanique, un moteur Stirling peut fonctionner à l'envers comme une pompe à chaleur pour le chauffage ou le refroidissement. À la fin des années 1930, la Philips Corporation des Pays-Bas a utilisé avec succès le cycle de Stirling dans des applications cryogéniques. Des expériences ont été menées en utilisant l'énergie éolienne entraînant une pompe à chaleur à cycle de Stirling pour le chauffage et la climatisation domestiques. En Inde, la loi du silence sur les déboires de l’industrie nucléaire est draconienne. Mais grâce à l’action infatigable de Pradeep Indulkar, ingénieur du nucléaire reconverti en réalisateur de documentaires antinucléaires, le martyr de la ville de Tarapur, voisine d’une centrale nucléaire fuyarde, filtre au travers du mur de la censure d’ Indulkar, ingénieur du nucléaire, parce qu’il souffrait de maladies provoquées par son métier, est devenu militant antinucléaire. Il a réalisé deux documentaires "High Power" sur la centrale nucléaire de Tarapur et sur ses impacts sanitaires et socio-économiques dramatiques, et "Jaïtapur en direct", autre documentaire sur les luttes contre le projet d’Areva de construire six réacteurs EPR à Jaïtapur, qui constitueraient la plus grande centrale nucléaire au monde – en pleine zone sismique. Le directeur général de l’AIEA, Yukiya Amano, écoute un briefing sur les "améliorations de sûreté" censément apportées à la centrale de Tarapur à la suite de Fukushima 12 mars 2013. Loi du silence En Inde, la loi du silence s’applique à l’industrie nucléaire de manière beaucoup plus stricte que nulle part ailleurs. La vente de radiamètres étant interdite dans ce pays, les habitants ne peuvent pas vérifier la radioactivité des sols, ni des aliments. Sur les sites internet, très peu d’informations arrivent à filtrer, toujours les mêmes, très sommaires. L’AIEA Agence Internationale de l’Énergie Atomique elle-même n’est au courant de rien d’important juste un événement de niveau 1 sur l’échelle INES à Tarapur. Selon ce critère, la centrale serait donc la plus fiable du monde ! Pourtant l’état sanitaire décrit dans "High Power" prouve que la région autour de la centrale de Tarapur est fortement contaminée par la radioactivité. L’État indien cache cette vérité et la communauté internationale s’accommode très bien de ce silence. Yukiya Amano visite la salle de commande de la centrale de Tarapur 12 mars 2013. Maladies radio-induites "High Power" nous montre une population qui souffre non seulement d’avoir été déportée brutalement, spoliée, exploitée par l’industrie nucléaire, mais aussi d’avoir été contaminée par des radionucléides échappés de la centrale nucléaire de Tarapur au cours de fuites accidentelles. Des témoins racontent les maladies dont ils souffrent cancers de la thyroïde et d’autres types inconnus dans la région, stérilité, fausses couches, crises cardiaques, paralysies, tuberculose, maux de tête, hypertension, problèmes de reins, handicaps moteurs, maladies psychiatriques, mortalité infantile, douleurs articulaires, etc. Exactement les mêmes pathologies que celles qui ont été décrites à Tchernobyl. Tous les témoins soupçonnent la centrale d’être la cause de leurs maladies et de nombreux décès suspects. Sonia Save, médecin- chef de la clinique de Tarapur, confirme la réalité de ces maladies inhabituelles et leur cause la radioactivité. Une ville totalement sinistrée Tarapur, ville martyre, se vide de ses habitants. Elle meurt avec eux. Des quartiers abandonnés, une population sacrifiée au profit de la centrale nucléaire qui vit dans la précarité la plus totale, sans même l’eau courante ni l’électricité ! La nature souffre des ondes électromagnétiques émises par les lignes THT acheminant l’électricité produite par la centrale les plantes refusent de se développer normalement et ne portent plus les fruits attendus. Les populations de poissons ont disparu dans la zone de la centrale. Tarapur, autrefois port de pêche actif et productif, est désert. Les pêcheurs n’ont pas les moyens de payer du fuel pour aller pêcher au large et s’ils s’approchent trop près de la centrale, on leur tire dessus. La pêche de subsistance ne suffit plus à nourrir la population. Ce tract de la NPCIL Nuclear Power Corporation of India vante le fait que "les activités de pêche continuent à proximité des centrales nucléaires". Allez dire ça aux pêcheurs de Tarapur... Mais cette situation sanitaire et économique désastreuse est connue des Indiens qui se mobilisent contre le projet d’Areva de construire six réacteurs EPR à Jaïtapur, qui constitueraient la plus grande centrale nucléaire au monde – en pleine zone sismique ! La centrale de Tarapur, qui était censée être un facteur de progrès social et économique pour la région, a provoqué exactement l’inverse expropriations sans compensations, violences policières, misère, chômage, maladies radio-induites, ghettoïsation des populations. La pollution chimique et thermique a ravagé les fonds marins. Cette centrale a provoqué autour d’elle une catastrophe écologique, sanitaire et sociale voilà en trois mots le message que Pradeep Indulkar tente de faire passer. La centrale de Tarapur La centrale n°1 comprend deux réacteurs à eau bouillante de 160 MW chacun, qui sont les premiers à avoir été construits en Asie, les travaux ayant débuté en 1964 et la mise en service effectuée en 1969. La centrale n°2 est constituée de deux réacteurs à eau lourde pressurisée de 540 MW chacun. Il s’agit de la centrale la plus importante installée en Inde. Elle a été construite en 6 ans, la mise en service du premier réacteur s’est produite en 2005 et celle du second en 2006. Les accidents survenus à Tarapur D’après Pradeep Indulkar, le gouvernement indien tient secret toute information concernant le nucléaire. Interrogée, l’AERB équivalent de l’Autorité de Sûreté Nucléaire en Inde n’ a donné aucune réponse. La transparence n’existe pas en Inde. Cela signifie qu’on ne peut pas remonter aux sources des déclarations d’accidents. Cependant, on trouve sur internet des rapports succincts qui relatent des accidents et des incidents nucléaires qui seraient survenus dans cette centrale En septembre 1973, des dysfonctionnements de vannes, de pompes et de barres de contrôle avaient provoqué un niveau de radioactivité beaucoup plus élevé que ne le permettent les normes internationales de protection contre les radiations. Une opération avait été menée pour que le poisson contaminé ne soit pas mis sur le marché. Le gouvernement avait indemnisé les pêcheurs. Les pêcheurs contaminés avaient été soignés en secret. La centrale avait été fermée jusqu’à ce que les problèmes techniques ne fussent résolus. Une fuite majeure aurait eu lieu en 1974 à Tarapur qui aurait même fait envisager à Indira Gandhi au pouvoir à ce moment-là de fermer le réacteur en cause ou le site... On n’a jamais su la gravité de l’accident sur l’échelle INES. Il y a pourtant eu deux morts sur le coup et un troisième, l’ingénieur en chef, au bout de trois ans d’agonie. En 1979, une importante fuite d’eau radioactive a exposé 300 travailleurs à des doses très au-dessus des normes. Le 10 septembre 1989 s’est produite une fuite d’iode radioactive, les réparations ont duré une année et coûté environ 78 millions de dollars. La radioactivité retrouvée dans des algues près de la centrale était 700 fois supérieure au niveau normal. Le 13 mai 1992, un réacteur nucléaire de Tarapur a relâché une quantité anormale de radioactivité en raison d’une fuite sur une tuyauterie de condenseur de secours. La fuite a libéré une radioactivité de 12 curies 444 milliards de Becquerels dans l’environnement. La réparation a duré deux mois et a coûté deux milliards de dollars. L’origine de la défaillance est attribuée à de la corrosion sous contrainte thermique Le physicien indien Ramana, dans son récent livre The power of promise consacré au programme nucléaire indien, confirme les nombreux incidents survenus dans le pays avec fuites de produits radioactifs. Il informe également de l’usage de MOX, utilisé à Tarapur depuis mai 1983 et fourni par Areva. Ce combustible nucléaire enrichi au plutonium est beaucoup plus énergétique mais aussi beaucoup plus dangereux et radio-toxique que le combustible habituel à l’uranium. Jacques Terracher Tarapur un ex-patron de la sûreté nucléaire dénonce le danger Dans une interview télévisée de début 2013, l’ex-président de l’AERB l’autorité de sûreté nucléaire indienne Adinarayana Gopalakrishnan, très critique de cette institution qu’il a présidée pendant 3 ans de 1993 à 1996, ne mâche pas ses mots concernant la "sûreté" de la centrale nucléaire de Tarapur. Il révèle que, dès 1996, les experts en sûreté nucléaire auprès de la Maison Blanche, ainsi que ceux de General Electric, lui ont indiqué que, si l’Inde se souciait de sûreté nucléaire, elle devrait fermer définitivement les deux réacteurs de Tarapur. C’était il y a bientôt 20 ans... et ils sont encore en activité. Pour Gopalakrishnan, la centrale de Tarapur est une "bombe à retardement" et l’Inde est "au bord du désastre". Xavier Rabilloud Le principe de fonctionnement d’un moteur asynchrone se base sur un champ magnétique tournant. Ce dernier est produit par des tensions alternatives. Lorsqu’un courant circule dans une bobine, cela crée un champ magnétique. L’axe de la bobine porte ce champ, il a une direction et une intensité qui dépendent du courant. Dans le cas d’un courant alternatif, le champ aura la même fréquence du va varier en sens et en direction avec le champ. Lorsque on place deux bobines à proximité l’une de l’autre, on aura un champ résultant qui est la somme vectorielle des deux champs. Pour un moteur triphasé, On dépose les bobines dans le stator avec un angle de 120° les unes des autres, alors nous allons avoir trois champs . En prenant en compte la nature du courant triphasé, on va avoir déphasage de trois champs . Donc le champ magnétique résultant va tourner avec la même fréquence que le courant la valeur est égale à 50tr/s. Parmi les moteurs les plus utilisé dans l’industrie est le moteur asynchrone. Il est peu coûteux, mais on le fabrique en grande série. Ses caractéristiques robustes et un entretien très limité. Pendant son fonctionnement, il ne génère pas d’étincelles par rapport à un moteur à courant continu. Ce type de moteur est utilisé dans la plupart des machines classiques dans le domaine industriel tapis roulants, fraiseuses, …. Force de Laplace Pour comprendre le fonctionnement de ce moteur, on a un conducteur électrique a un longueur L, qui va être soumis à un champ magnétique et il le traverse un courant, il est subit à une force électromagnétique F qu’on l’appelle la force de Laplace pour savoir le sens il faut utiliser la règle de la main droite qui tend à le mettre en mouvement. F= F en newtons I en ampères l en mètre B en tesla α l’angle entre le fil et la direction du champ. Les Constitutions et le principe de fonctionnement du moteur Ce moteur a 2 parties distinctes le stator et le rotor. On appelle l’espace entre le stator et le rotor est l’entrefer. Le stator est la partie fixe du moteur Il constitue de 3 bobines. Ils sont parcourus par un courant alternatif qui possède un nombre de paires de pôles. Le champ magnétique tournant à la vitesse de synchronisme est créé par les courants alternatifs dans le stator ns=f/p ns vitesse de synchrone de rotation en tr/s. f fréquence en Hz = en rad/s Le rotor est soumis à un champ tournant. Il génère ce qu’on appelle des courants induits qui subit à la loi de Lenz, s’opposent à une rotation qui entraînent la rotation du rotor .Il le même sens de la vitesse fréquence n. Remarque la vitesse est toujours légèrement inférieure à s. La partie mobile du moteur est le rotor n’est relié à aucune alimentation. Il y’a deux types de rotor. Le Rotor à cage d’écureuil Il est livré avec un jeu de tiges conductrices, généralement en aluminium, placées dans un empilement de tôles. Les extrémités de la tige sont reliées par deux anneaux conducteurs. La résistance du rotor à cage d’écureuil est très faible on dit qu’il s’agit d’un court-circuit. Le rotor bobiné Le rotor présente une rainure dans laquelle se loge les forment le bobinage triphasé. Les bobinages peuvent se contacter généralement être par 3 bagues et 3 balais, de sorte que les caractéristiques de la machine peuvent se couplage sur le réseau On trouve sur la plaque signalétique une indication de la tension exemple 127V / 230V. Cela veut dire que quel que soit le réseau, l’enroulement doit supporter la tension correspondant à la valeur la plus basse indiquée dans l’exemple est 127V qui correspond à une vitesse nominale. Alors en fonction du réseau, il faut faire un couplage approprié. Le branchement Un moteur triphasé possède 3 enroulements. On les relie à six bornes U1, V1, W1 et U2, V2, W2 .Le positionnement de 3 barrettes nous permet l’alimentation du moteur sous 2 tensions différentes. Calcul du glissement ns vitesse de synchronisme au niveau du champ tournant tr/s n vitesse de rotation du moteur au niveau rotor tr/s ng vitesse relié au glissement tr/s et on aussi ng=ns-n Calcul ng=g*ns soit fg=g*f=fr Le bilan de puissance d’un moteur asynchrone La puissance active et réactive Pa= √3*U*I*cosalpha , Qa= √3*U*I*sinalpha La puissance absorbées S=√3*U*I Elle est transmise au rotor par ce qu’on applelle le couple électromagnétique Ptr La puissance transmise = P – Pfs – Pjs = Tems Tem moment du couple électromagnétique en Nm. s c’est la vitesse angulaire de synchronisme en rad/s avec Les pertes par effet joule qui sont localisées au niveau du stator ,supposons que r est la résistance d’une phase au niveau du stator Pour un couplage étoile PJs = 3*r*I*I Pour le couplage triangle PJs = 3rJ*J Supposons que R est la résistance entre une phase du stator couplé et une intensité en ligne donc PJs = 3 /2*R*I*I La puissance mécanique totale PM Le rotor est entrainé à une vitesse par le couple électromagnétique de moment Tem. Il a ne relation avec la puissance mécanique totale PM. PM=Tem* , soit PM=Tem* =Ptr/ s* =Ptr*1-g PM =Ptr*1-g contient la puissance utile et les pertes mécaniques Les Pertes joules et les pertes fer au rotor Pjr=gPtr on néglige les pertes fer du rotor. Les pertes collectives Ils dépendent de U, f et n qui sont constantes il contient les pertes fer au stator et les pertes mécaniques. Le Couple de perte C’est est une grandeur constante quelle que soit la valeur de vitesse et la charge de la machine. Tc=Pc/ s. La puissance utile Le calcul du rendement Le fonctionnement à vide Un moteur à vide, il n’entraîne aucune charge. Alors On utilise un essai à vide pour déterminer les pertes collectives. Le fonctionnement du moteur asynchrone en charge On parle d’une charge résistive lorsque l’arbre moteur entraîne une charge qui s’oppose au sens de rotation du rotor. Dans le cas d’un régime permanent, le couple moteur et le couple résistant sont égaux Tu=Tr Remarque Le moteur asynchrone peut démarrer en charge. On définit Le point de fonctionnement comme l’intersection entre la courbe qui caractérise le couple résistant et de la courbe de la caractéristique mécanique du moteur . Le point de fonctionnement T ; n va nous permettre de calculer le glissement et la puissance utile du moteur. Démarrage direct d’un moteur asynchrone Lorsqu’on alimente le moteur sous une tension, cela va produire l’appel à un courant ID au niveau du réseau très important 4 à 8In. Elle peut provoquer des chutes de tension c’est ce qu’on l’appelle un n démarrage direct. On l’utilise lorsque le courant ne perturbe pas le réseau. La figure suivante montre le démarrage direct du moteur en 2 sens de marche Démarrage étoile-triangle d’un moteur asynchrone Le principe de ce démarrage est de coupler le stator en étoile pendant la durée du démarrage, puis passer au couplage triangle. On le divise en générale en 2 étapes 1ère étape on commence en étoile, chaque enroulement reçoit est sous tension 3 fois petit à sa tension nominale. Par Conséquence on a l’intensité absorbée est se divise par trois. 2ème étape pour ne durée de 2 à 3 secondes après, on passe en triangle. Inconvénient on a le couplage au démarrage se divise par 3. Ce procédé est possible si seulement si le moteur est conçu pour travailler en couplage triangle sous la tension qui se compose au niveau du réseau. Ce démarrage convient aux machines qui ont une puissance inférieure à 50KW démarré à vide. Démarrage rotorique d’un moteur asynchrone Ce démarrage est en voie de disparition. Il est parmi les meilleurs choix au niveau économique étant le variateur de type électronique. La plaque signalétique d’un moteur asynchrone Le moteur asynchrone monophasé Lorsqu’on alimente deux bobines et on les branche en série sans oublier d’en respecter le sens des enroulements en assurant un courant alternatif monophasé avec une fréquence 50 Hz, alors on va créer entre les bobines un champ qui est de type alternatif avec la même fréquence. On trouve dans ce champ une aiguille placée qui vibre mais il ne tourne pas. Supposons qu’on la lance dans un sens bien déterminée ou bien dans l’autre, alors elle va tourner avec une fréquence de synchronisme. Avec deux phases, il est possible que le moteur tourne avec un tel un sens ou bien l’autre. A cause de cela il va trouver du mal pour démarrer tout seul. Alors Il faut ajouter un dispositif qui va lui permettre de démarrer dans un sens. Il s’agit représenté comme un enroulement ou bien spire auxiliaire. Varier la vitesse d’un moteur asynchrone La vitesse de synchronisation ns dépend de la fréquence fs du courant statorique. Puisque la vitesse n » est très raproché de la vitesse de synchronisme, pour varier la vitesse du moteur, il faut tout simplement changer la fréquence fs. En gardent la valeur du couple utile, pour varier la vitesse ,il faut se concentrer sur le rapport Vs/fs constante. Si vous souhaitez augmenter la vitesse, vous devez augmenter la fréquence et la tension d’alimentation dans la plage de fonctionnement correct de la machine. Nous avons obtenu le réseau caractéristique. La zone utile est un ensemble de segments de droite parallèles. Techniquement, cela permet de très bons réglages de vitesse. Les caractéristiques T=fn du moteur asynchrone pour quelques charges Le modèle équivalent d’un moteur asynchrone Il est important de se souvenir à l’avance de l’expression de la fréquence du courant induit rotorique fr=g*f. Un moteur asynchrone se compose de 2 ensembles de bobinages triphasés se localisent sur le même circuit magnétique. Par analogie, on peut le considérer comme équivalent à un transformateur triphasé à l’arrêt. Sur la figure suivante, on représente le schéma monophasé équivalent trouvé par l’analogie avec le transformateur et le schéma synoptique. Nous avons remarqué les éléments de défaut classiques sur cette image la résistance série des enroulements primaire et secondaire, ainsi que l’inductance de fuite. D’autre part, nous exprimons le transformateur équivalent comme une simple inductance mutuelle entre deux primaire et secondaire. Nous devons bien savoir que, lorsque le moteur tourne, les fréquences des courants et des tensions au primaire et au secondaire du transformateur ne sont pas égaux. Pour construire un schéma équivalent simple en pratique, on fait de la division de l’équation de maille a niveau du secondaire par le glissement g, cela va produire ce qu’on appelle une inductance de fuite équivalente à la fréquence f. On peut considérer que les fréquences du primaire et du secondaire sont identiques. On va prendre alors le schéma monophasé équivalent suivant Rf est la résistance équivalente aux pertes fer. Lm est l’inductance magnétisante. R1 Résistance des conducteurs statoriques. L c’est l’inductance qui représente la fuite au niveau du primaire. R’2/g est définié comme la résistance équivalente aux conducteurs rotoriques au niveau du stator. Enfin,je vous invite de lire aussi sur notre site Empreinte digitale avec Arduino pour l’ouverture de porte Automatisation et instrumentation industrielle -Explication simple Capteur de pression Principe de fonctionement et technologie Publié le 02/05/2012 à 0925 , mis à jour à 1008 Un militant de l'organisation écologiste Greenpeace s'est introduit, ce mercredi, dans la centrale nucléaire de Bugey, dans l'Ain, à l'aide d'un paramoteur. L'homme a été interpellé. Il s'agit de la troisième incursion dans une centrale nucléaire française en moins de six mois. "Un militant de Greenpeace est arrivé avec un paramoteur vers 7H40 du matin. Il a survolé la centrale, lancé un fumigène puis a atterri à l'intérieur où il a été interpellé", a déclaré le colonel Aubanel, commandant le groupement de gendarmerie départementale de l'Ain. Pour Sophia Majnoni, chargée des questions nucléaires au sein de Greenpeace France, "l'objectif de cette action est d'adresser un message aux deux candidats à l'élection présidentielle qui nient le risque du nucléaire. On voulait illustrer une agression externe, type chute d'avion". Selon une porte-parole de l'EDF, qui ne confirme pas qu'il s'agit de militants de l'organisation écologiste, "un ULM avec une personne à l'intérieur et une autre à l'extérieur du site pour la guider", s'est bien introduit à l'intérieur de la centrale de Bugey dans l'Ain. En décembre dernier, des militants de Greenpeace qui voulaient illustrer les failles de la sécurité des installations nucléaires avaient réussi à pénétrer dans les centrales de Nogent-sur-Seine, dans l'Aube, et de Cruas, en Ardèche. France La sécurité renforcée dans les centrales nucléaires Equipes cynophiles, Taser pour les gendarmes, nouvelles caméras le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a profité hier d'une visite à la centrale nucléaire de Chinon pour annoncer un renforcement des mesures de sécurité dans ces... Publié le 07 Janvier 2012 Energie-Environnement Des militants de Greenpeace pénètrent dans plusieurs centrales nucléaires Des militants de Greenpeace se sont introduits dans plusieurs centrales nucléaires de France hier, pour prouver qu'elles n'étaient pas inviolables. L'opération met le gouvernement mal à l'aise. Le nucléaire sûr n'existe pas ». C'est ce qu'ont voulu prouver des militants de Greenpeace qui ont... Publié le 06 Décembre 2011

moteur que l on trouve dans une centrale nucléaire